La Fête de l’eau

7,00 

Baptisé La fête de l’eau, le second album de l’ONJ Claude Barthélemy – version 2004, dévoile une série de pièces farouchement singulières, non dénuées de virtualités « chahuteuses ». Toujours fidèle à ses amours du télescopage, Claude Barthélemy se joue des genres pour nous livrer ici un jazz habilement honoré (Badgag, Giant Steps) qui puise également sa…

Date de sortie : 22 octobre 2004
Le Chant du Monde • CMJ 2741228
harmonia mundi
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Description

Baptisé La fête de l’eau, le second album de l’ONJ Claude Barthélemy – version 2004, dévoile une série de pièces farouchement singulières, non dénuées de virtualités « chahuteuses ».

Toujours fidèle à ses amours du télescopage, Claude Barthélemy se joue des genres pour nous livrer ici un jazz habilement honoré (Badgag, Giant Steps) qui puise également sa force et sa vitalité dans ses liens avec le rock (furieux et jubilatoire – La fête de l’eau, S&R), la chanson (J’ai la mémoire qui flanche – porté par la voix de Charlène Martin), le reggae (Corvisart), les musiques du monde (soyeux Oud-Oud, obsédant Hati-Hati), le blues (Mama Barth Blue, Byron). Le chef a compilé dans ce disque quelques-uns de ses standards favoris : « certains morceaux (Corvisart, Mama Barth Blue, J’ai la mémoire qui flanche…) me hantaient depuis deux ou trois décennies et c’est cet orchestre-là, enfin, qui m’a « autorisé » à les réaliser au plus près de mon cœur, merci les gars ! ». La plupart des autres thèmes ont été composés pour l’ONJ, une écriture au service d’une masse orchestrale et de ses solistes, qui semble explorer tous les possibles. Les deux titres Sparadrap714 et Montbernage-Queen sont des extrapolations d’improvisations collectives.

Quinze pistes, comme autant de tableaux à combinaisons variables où rien ne semble tomber de nulle part. D’entrée de jeu, la musique s’impose sans équivoque, puissante et subtile. À la fois inspiré, exalté, lumineux, grave, ludique, électrique, imposant, désinvolte… La fête de l’eau, servi par une bande de joyeux virtuoses, déploie son lot d’émotions.

•••••

La fête de l’eau, the second album by ONJ Claude Barthélemy – version 2004, unveils a series of fiercely singular pieces, not devoid of « rowdy » virtualities.

Ever faithful to his love of telescoping, Claude Barthélemy plays with genres to deliver a jazz that is skilfully honoured (Badgag, Giant Steps), but also draws strength and vitality from its links with rock (furious and jubilant – La fête de l’eau, S&R), chanson (J’ai la mémoire qui flanche – carried by Charlène Martin’s voice), reggae (Corvisart), world music (silky Oud-Oud, haunting Hati-Hati), blues (Mama Barth Blue, Byron). The conductor has compiled some of his favorite standards on this disc: « some pieces (Corvisart, Mama Barth Blue, J’ai la mémoire qui flanche…) had been haunting me for two or three decades, and it’s this orchestra, at last, that has ‘authorized’ me to perform them as close to my heart as possible – thank you, guys! Most of the other themes were composed for the ONJ, a style of writing at the service of an orchestral mass and its soloists, which seems to explore all possibilities. The two titles Sparadrap714 and Montbernage-Queen are extrapolations of collective improvisations.

Fifteen tracks, like so many paintings with variable combinations, where nothing seems to come out of nowhere. From the outset, the music is unequivocal, powerful and subtle.At once inspired, exalted, luminous, serious, playful, electric, imposing, casual… La fête de l’eau, served up by a band of joyful virtuosos, unfurls its share of emotions.

Tracklist

  • 1. La fête de l’eau
    (Claude Barthélemy)
    04:38
    playstop
  • 2. Sparadrap714
    (Philippe Lemoine, Didier Ithursarry, Vincent Limouzin, Alexis Thérain, Nicolas Mahieux, Jean-Luc Landsweerdt)
    01:33
  • 3. Corvisart
    (Claude Barthélemy)
    05:10
  • 4. Avec titre
    (Claude Barthélemy)
    01:20
  • 5. Badgad
    (Claude Barthélemy)
    08:57
  • 6. Mama Barth Blue
    (Claude Barthélemy)
    03:19
  • 7. Caténaires
    (Jean-Luc Ponthieux)
    02:06
  • 8. S&R
    (Claude Barthélemy)
    01:12
  • 9. Montbernage-Queen
    (Sébastien Llado, Olivier Lété, Alexis Thérain, Jean-Luc Landsweerdt, Didier Ithursarry, Nicolas Mahieux)
    02:25
  • 10. Oud-Oud
    (Claude Barthélemy)
    04:58
  • 11. Hati-Hati
    (Claude Barthélemy)
    03:17
    playstop
  • 12. Giant Steps
    (John Coltrane)
    05:08
    playstop
  • 13. J’ai la mémoire qui flanche
    (Cyrus Bassiak, François Rauber)
    04:13
  • 14. Two Bass Beat
    (Claude Barthélemy)
    03:31
  • 15. Byron
    (Claude Barthélemy)
    05:45

CLAUDE BARTHÉLEMY guitares, oud, voix (03), direction musicale
PHILIPPE LEMOINE
saxophones alto, sopranino et baryton,
VINCENT MASCART saxophones ténor et soprano
MÉDÉRIC COLLIGNON cornet, voix
GEOFFROY TAMISIER trompette
JEAN-LOUIS POMMIER trombone
SÉBASTIEN LLADO trombone, trombone alto
PASCAL BENECH trombone basse
DIDIER ITHURSARRY accordéon
ALEXIS THÉRAIN guitare électrique
OLIVIER LÉTÉ basse électrique
NICOLAS MAHIEUX contrebasse
VINCENT LIMOUZIN vibraphone, marimba, gamelan, percussions
JEAN-LUC LANDSWEERDT batterie

GUEST
CHARLÈNE MARTIN voix (13, 14)

Description

Baptisé La fête de l’eau, le second album de l’ONJ Claude Barthélemy – version 2004, dévoile une série de pièces farouchement singulières, non dénuées de virtualités « chahuteuses ».

Toujours fidèle à ses amours du télescopage, Claude Barthélemy se joue des genres pour nous livrer ici un jazz habilement honoré (Badgag, Giant Steps) qui puise également sa force et sa vitalité dans ses liens avec le rock (furieux et jubilatoire – La fête de l’eau, S&R), la chanson (J’ai la mémoire qui flanche – porté par la voix de Charlène Martin), le reggae (Corvisart), les musiques du monde (soyeux Oud-Oud, obsédant Hati-Hati), le blues (Mama Barth Blue, Byron). Le chef a compilé dans ce disque quelques-uns de ses standards favoris : « certains morceaux (Corvisart, Mama Barth Blue, J’ai la mémoire qui flanche…) me hantaient depuis deux ou trois décennies et c’est cet orchestre-là, enfin, qui m’a « autorisé » à les réaliser au plus près de mon cœur, merci les gars ! ». La plupart des autres thèmes ont été composés pour l’ONJ, une écriture au service d’une masse orchestrale et de ses solistes, qui semble explorer tous les possibles. Les deux titres Sparadrap714 et Montbernage-Queen sont des extrapolations d’improvisations collectives.

Quinze pistes, comme autant de tableaux à combinaisons variables où rien ne semble tomber de nulle part. D’entrée de jeu, la musique s’impose sans équivoque, puissante et subtile. À la fois inspiré, exalté, lumineux, grave, ludique, électrique, imposant, désinvolte… La fête de l’eau, servi par une bande de joyeux virtuoses, déploie son lot d’émotions.

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La fête de l’eau, the second album by ONJ Claude Barthélemy – version 2004, unveils a series of fiercely singular pieces, not devoid of « rowdy » virtualities.

Ever faithful to his love of telescoping, Claude Barthélemy plays with genres to deliver a jazz that is skilfully honoured (Badgag, Giant Steps), but also draws strength and vitality from its links with rock (furious and jubilant – La fête de l’eau, S&R), chanson (J’ai la mémoire qui flanche – carried by Charlène Martin’s voice), reggae (Corvisart), world music (silky Oud-Oud, haunting Hati-Hati), blues (Mama Barth Blue, Byron). The conductor has compiled some of his favorite standards on this disc: « some pieces (Corvisart, Mama Barth Blue, J’ai la mémoire qui flanche…) had been haunting me for two or three decades, and it’s this orchestra, at last, that has ‘authorized’ me to perform them as close to my heart as possible – thank you, guys! Most of the other themes were composed for the ONJ, a style of writing at the service of an orchestral mass and its soloists, which seems to explore all possibilities. The two titles Sparadrap714 and Montbernage-Queen are extrapolations of collective improvisations.

Fifteen tracks, like so many paintings with variable combinations, where nothing seems to come out of nowhere. From the outset, the music is unequivocal, powerful and subtle.At once inspired, exalted, luminous, serious, playful, electric, imposing, casual… La fête de l’eau, served up by a band of joyful virtuosos, unfurls its share of emotions.

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